Le ministère indien de l’Information et de la Radiodiffusion (I&B) a récemment tenu une réunion « houleuse » avec des représentants de Google, Twitter et Facebook, exigeant d’eux des mesures plus strictes pour freiner la propagation de fausses nouvelles. Les entreprises Big Tech seraient inactives lors de la suppression du contenu requis considéré comme faux et les obligeraient à mieux gérer cela.
L’Inde veut que les grandes technologies durcissent les fausses nouvelles
Un rapport de Reuter suggère que le Un responsable d’I&B a critiqué Google, Twitter et Facebook pour les mesures qu’ils ont prises pour lutter contre les fausses informations et suggère que leur « inaction » a forcé le gouvernement indien à supprimer ce contenu, ce qui a, à son tour, attiré l’attention du monde entier, car le gouvernement réprimerait la liberté d’expression.
Cette récente réunion a également été suivie par les plateformes indiennes de médias sociaux ShareChat et Koo. Il s’agit d’un suivi d’une action d’urgence entreprise par I&B en décembre et janvier, qui bloqué 55 chaînes YouTube et certains comptes Google et Twitter. Il a été révélé que ces récits étaient la source de désinformation et de sentiments anti-indiens.
Le site technologique Comparitech a révélé que L’Inde a fait 97 631 demandes de suppression de contenu en 2020, qui est le deuxième après la Russie.
Bien que le gouvernement indien n’ait pas donné d’ultimatum à ces géants de la technologie, il s’attend toujours à ce que Google, Facebook et Twitter révisent leurs directives internes à ce sujet et proposent des actions plus sévères. En réponse à cela, Big Tech a affirmé qu’ils prenaient des mesures adéquates pour lutter contre les fausses nouvelles. Cependant, les responsables gouvernementaux ont fini par montrer leur déception à leur égard.
Les entreprises technologiques ont également suggéré au gouvernement indien d’éviter de rendre publiques les suppressions de contenu afin que leur image ne soit pas ternie. Cependant, cette suggestion a été rejetée en déclarant que «les démantèlements révèlent également que les entreprises n’en faisaient pas assez pour lutter seules contre les fausses informations.
Ni Google, Twitter, Facebook ni les représentants du gouvernement n’ont commenté cela. Il reste à voir quel sera le résultat de cette réunion et quelles seront toutes les nouvelles mesures que ces entreprises technologiques prendront pour mieux gérer les fausses nouvelles. Que pensez-vous de ceci? Faites-nous savoir dans les commentaires ci-dessous!